Le rapport du PNUD montre que les interrogations d’AKNL étaient justifiées
Le 23 mars 2019, Aret Kokin Nu Laplaz (AKNL) a contacté l’Unité de conformité sociale et environnementale (SECU) du PNUD, affirmant qu’au rythme auquel le gouvernement mauricien accorde des permis de développement pour la construction d’hôtels et de complexes résidentiels sur le littoral du pays, le projet du PNUD connu sous le nom de «Intégration de la biodiversité dans la gestion des zones côtières de la République de Maurice» n’atteindrait pas un de ses objectifs, celui de protéger les zones écologiquement sensibles. (Voir notre « post » initial à ce sujet).
Après une enquête de 18 mois menée par la (SECU) du PNUD, au niveau interne, à savoir son bureau local et après consultations des instances gouvernementales ainsi que d’autres ONG, le PNUD a rendu son rapport public en novembre 2020.
En résumé, le rapport reconnaît que la manière dont le projet est suivi n’est pas totalement conforme à plusieurs normes sociales et environnementales (SES) du PNUD.